Les produits de la gamme Green Line comprennent des flux pour le soudage à la vague et le soudage sélectif. Tous les flux à base d'eau peuvent être utilisés sur les systèmes de production connus sur le marché. Les résultats de brasage sont équivalents à ceux obtenus avec des flux à base d'alcool. Il est donc tout à fait possible de passer à des flux écologiques à base d'eau, indépendants de l'alcool, car la situation d'approvisionnement en flux à base d'alcool reste très sérieuse. “Comme il n'y a pratiquement plus d'alcool artificiel sur le marché, les volumes de fabrication sont de plus en plus faibles alors que la demande augmente. Nous partons du principe que cette évolution va se poursuivre dans les semaines à venir“, explique Markus Geßner, directeur du marketing et des ventes chez Emil Otto GmbH.
Il arrive que des situations extraordinaires se produisent au téléphone, où des acheteurs souhaitent s'approvisionner en quantités qui ne sont déjà plus disponibles dans le stock d'Emil Otto. „Une livraison n'est tout simplement pas possible, car la plupart des flux à base d'alcool ont été vendus ces derniers jours et une nouvelle fabrication n'est possible qu'avec une augmentation massive des prix, car les prix que nous payons actuellement pour l'alcool à l'achat sont extrêmement élevés“, explique Geßner.
Geßner conseille donc à ses clients de passer aux flux Green Line. Les premiers fabricants d'électronique franchissent le pas et se font activement aider par Geßner et son équipe pour modifier leur processus de brasage. Souvent, les entreprises avaient prévu de passer aux flux à base d'eau, mais ne l'avaient pas encore fait. Dans la situation actuelle, le pas semble donc avoir été franchi pour certains fabricants à la commande. „Nous constatons une volonté accrue de changement et sommes bien armés pour cela. La demande pour les produits Green Line augmente. Nous n'avons pas de pénurie de flux à base d'eau et pouvons en produire à tout moment“, explique Geßner.